Artiste basé à New York, Eric White obtient son BFA (Baccalauréat des Beaux-Arts) en 1990, et part vivre 10 ans à San Francisco avant de revenir travailler à New York depuis l'an 2000.
Eric White travaille avec les points de vue de ses personnages et celui du spectateur. Ses peintures mettent en évidence un ou plusieurs sujets, comme figés dans des décors cinématographiques, qui ne laissent que supposer l'envers du décor.
"Les peintures et les dessins touchent une corde sensible - nostalgique et en même temps vaguement futuriste, voire dystopique." - Leah Ollman du Los Angeles Times
Eric White mélange le surréalisme traditionnel, le néo-réalisme et le conceptualisme ce qui immerge le spectateur dans le tableau. Les réalités alternatives, les rêves, la métaphysique et l'esthétisme hollywoodien vintage sont souvent au cœur de ses œuvres.
“There are psychological issues going on, and metaphysical things happening, and self-reflection and alienation and anxiety and all the stuff that I enjoy.”- Eric White
La beauté se cache aussi dans la manière dont les œuvres perturbent le spectateur. les dimensions vont bien au delà de ce que l'on perçoit et cela se ressent.
Comme David LaChapelle, Eric White place beaucoup de références cinématographiques, musicales ainsi que de nombreux clins d'œil à la pop culture dans ses visuels. White honore la musique en parodiant ses pochettes d'albums préférées.
Très réaliste et décalé, son univers plait à plus d'un. En 2017, l'artiste Tyler, The Creator lui demande de faire la pochette de son prochain album Flower Boy, deux univers qui matchent parfaitement.
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